UN ANIMAL CAPTIF SURVIT DANS DES CONDITIONS QUI LUI SONT PARFAITEMENT INADAPTEES

En 2012, 13 neuroscientifiques d’institutions de renommée telles que Caltech, le MIT ou l’Institut Max Planck, en présence du scientifique Stephen Hawking, ont signé un manifeste revendiquant l’existence de «conscience» chez de nombreux animaux non-humains (The Cambridge Declaration on Consciousness). Selon la Déclaration, les recherches à ce jour ont démontré la capacité des organismes du règne animal à percevoir leur propre existence et le monde autour d’eux.

À mesure que la science offre de nouvelles perspectives de compréhension du monde vivant, les mentalités évoluent. Les préoccupations ne sont plus seulement écologiques, mais aussi éthiques : est-il juste d’exploiter des animaux pour notre plaisir ?  « Les cirques, les parcs de « divertissement » marin, la corrida, les courses de lévriers, les montreurs d’ours, les balades à dos d’éléphants, le cub-petting, la chasse et bien d’autres « divertissements » incarnent les formes d’exploitation animale les plus absurdes et cruelles de notre temps.

  « Exhiber un animal captif contredit la notion d’être vivant doté d’une pensée, d’une sensibilité, d’une liberté, d’une spécificité. La captivité va totalement à l’encontre de la notion de respect de la nature et de respect de la vie sous toutes ses formes ».  Pour toutes ces raisons, SAUVAGES se positionne pour une interdiction progressive des animaux sauvages et domestiques dans les cirques.